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Les contes populaires hongrois, transmis oralement de génération en génération depuis avant l'ère chrétienne, prennent source dans les croyances populaires et déploient dans un univers coloré la profondeur et la richesse de l'imaginaire mythique hongrois. Ils ont été mis en images par le maître de l'animation hongroise, Marcell Jankovics, nommé aux Oscars en 1974 pour le court-métrage d'animation Sisyphus et primé de la Palme d'or à Cannes en 1977 pour Struggle. Dans ce monde à la fois pastoral et merveilleux où les rêves enfantins et la magie prennent vie, les bébés animaux qui parlent (Les sept petits chevreaux) devront rester vigilants pour échapper à la ruse du grand méchant loup, et un vulgaire cochon prétend à épouser la fille d'un roi (La vigne parlante, la pomme souriante et la pêche tintillante). Les animaux des bois veulent aider un prince généreux à délivrer des fées (La fée du chêne à trois branches) et un violon magique fait danser paysans et rois (D'abord la danse, puis le festin). Lors du jeu de farces entre un roi et un pauvre homme (Celui qui ne mange pas sa cuillère est un âne), rira bien qui rira le dernier...

Transmis auparavant par les traditions orales de récit, les contes populaires hongrois sont ici mis en images par Marcell Jankovics, le maître de l'animation hongroise, nommé aux Oscars en 1974 pour Sisyphus et primé de la Palme d'or à Cannes en 1977 pour Struggle. Ces contes prennent source dans les croyances populaires et un univers rural en connexion avec la nature et ses éléments, mais où prennent forme le surnaturel et le merveilleux. Ils reflètent la richesse de l'imaginaire des mythes et légendes issus de l'Europe centrale et orientale. Dans ce monde où l'imaginaire de l'enfance défie les limites du possible et laisse place au rêve et à la magie, un jeune homme du peuple charme les animaux avec ses pipeaux (Jeannot le Corbeau), un ancien soldat désormais sans le sou trouve un moyen astucieux de se nourrir chez les villageois (La soupe au caillou), et un jeune prince décide de braver la Mort (Le prince qui voulait être immortel). Un moulin magique produit tout ce qu'un homme peut espérer boire et manger (Le moulin inépuisable) et les juges d'un village (L'œuf de poulain) débattront vivement au sujet d'un mystérieux œuf de poulain, dans un récit aussi comique que polémique...

Les contes populaires hongrois ont été majestueusement mis en images par le maître de l'animation hongroise, Marcell Jankovics, nommé aux Oscars en 1974 pour le court-métrage d'animation Sisyphus et primé de la Palme d'or à Cannes en 1977 pour Struggle. Ces contes prennent source dans les croyances populaires qui par la transmission orale, ont survécu l'ère chrétienne. Ils reflètent la richesse de l'univers mythique et légendaire hongrois, où le merveilleux s'associe au monde rural le plus naturel. Dans cet univers où se déploie dans toute sa splendeur l'imaginaire de l'enfance, fait de magie et de mystères, Petit Paul le prince doit faire ses preuves dans le monde des grands en gardant un muguet serti de diamants (Petit Paul, le prince au muguet), un vieux roi découvre l'importance du sel dans la vie des hommes (Le sel), et si de pauvres hommes du peuple parviennent à prouver leur valeur, ils pourront peut-être épouser une princesse ou gagner une part de royaume (Le berger de lièvres ; L'astronome, le voleur, le chasseur et le tailleur). Un pauvre cordonnier se voit offrir des cadeaux magiques (Le pauvre cordonnier et le Roi des Vents) qui lui porteront chance...

Les contes populaires hongrois ont été majestueusement mis en images par le maître de l’animation, Marcell Jankovics, nommé aux Oscars en 1974 pour Sisyphus et primé de la Palme d’or à Cannes en 1977 pour Struggle. Ces contes reflètent la richesse des légendes hongroises et de leur imaginaire. Dans ce monde pastoral et merveilleux où la magie prend vie, un hérisson, pas comme les autres, cherche à épouser la fille qui puisse l’aimer (Le hérisson enchanté). Un jeune prince brave à la fois les dragons et un petit bonhomme pour récupérer le soleil, la lune et les étoiles qui ont été volés (Nicolas, le petit roi). Des colombes et un coq aident la belle Cendrillon à échapper à l’emprise de sa méchante belle-mère (Cendrillon). La noix magique qui sauve un pauvre homme et sa famille leur revient très cher (La petite noix) et trois jeunes hommes se font duper par les ruses d’un vieil homme (La pièce d’or et le chapeau), mais à la fin la chance leur sourit…

Les contes populaires hongrois ont été majestueusement mis en images par le maître de l’animation, Marcell Jankovics, nommé aux Oscars en 1974 pour Sisyphus et primé de la Palme d’or à Cannes en 1977 pour Struggle. Ces contes reflètent la richesse des légendes hongroises et de leur imaginaire. Dans ce monde où l’imagination de l’enfance défie les limites du possible, des miracles se produisent lorsque le fils cadet d’un roi tombe sous le charme d’une petite minette (Miaou, la princesse) ou lorsqu’une fille se transforme en biche et essaie de sauver sa soeur (Cerouska). Nous découvrons aussi les aventures d’un petit garçon qui n’ose plus retourner à la maison après avoir perdu les vaches de son père (Denis, la noix) ou celles d’un jeune prince astucieux qui se cache à l’intérieur d’un veau en or pour retrouver sa bien-aimée (Le veau d’or). Et encore, un pauvre loup qui se fait tellement duper par un mouton, un cochon et un cheval qu’il n’a plus du tout envie de rigoler (Le loup qui rit)...

Transmis auparavant par les traditions orales de récit, les contes populaires hongrois sont ici mis en images par Marcell Jankovics, le maître de l'animation hongroise, nommé aux Oscars en 1974 pour Sisyphus et primé de la Palme d'or à Cannes en 1977 pour Struggle. Les contes populaires hongrois ont été majestueusement mis en images par le maître de l’animation, Marcell Jankovics, nommé aux Oscars en 1974 pour Sisyphus et primé de la Palme d’or à Cannes en 1977 pour Struggle. Ces contes reflètent la richesse des légendes hongroises et de leur imaginaire. Dans cet univers splendide de l’enfance, fait de magie et de mystères, Pinco, le petit lutin doté d’une force et d’une intelligence extraordinaires aide un vieil homme à faire son travail (Pinco, le lutin génial). Un petit garçon trouvé au bord d’une rivière tente de sauver sa soeur retenue prisonnière par une sorcière (Jean, au filet de pêche), et Pierre, né d’un morceau de bois sculpté, défie tout seul une armée entière (Pierre, petit bout de bois). Un jeune prince avec son cheval et son épée magiques va à la rescousse du roi rouge assiégé par des sorcières (Le champ d’or) et le fils d’un roi aidé par un renard part à la recherche d’un oiseau miraculeux pour sauver son père (La princesse aux yeux de renard).

Le monde magique de Hans Christian Andersen est un monde où les jouets et les fleurs éprouvent des sentiments et où les animaux peuvent parler. John part découvrir le monde, avec en poche son héritage de 25 pièces d'argent, et le rêve d'une belle princesse. En chemin, il croise un compagnon de voyage étrange et merveilleux…

Le monde magique de Hans Christian Andersen est un monde où les jouets et les fleurs éprouvent des sentiments et où les animaux peuvent parler... A bord d'une diligence, un homme raconte à deux jeunes enfants les contes les plus célèbres de l'auteur danois.

Lila vit dans un livre pour enfant, quand soudainement, elle disparaît de son univers de papier. La voilà plongée dans une incroyable aventure. Elle découvre que seul Ramon, un petit garçon qui, il y a quelques années, aimait lire le conte de Lila, peut la sauver. Mais Ramon n'est plus un petit garçon. Il ne lit plus de contes pour enfants et pire, il ne croit plus au monde du merveilleux.