Dans le monde conventionnel des ours, il est mal vu de se lier d’amitié avec une souris. Et pourtant, Ernest, gros ours marginal, clown et musicien, va accueillir chez lui la petite Célestine, une orpheline qui a fui le monde souterrain des rongeurs. Ces deux solitaires vont se soutenir et se réconforter, et bousculer ainsi l’ordre établi...
2014
Oscars : Nommé pour l'Oscar du meilleur film d'animation
2013
César : César du meilleur film d'animation
2012
Festival de Cannes : Nommé pour la Caméra d'Or
Quinzaine des réalidateurs : Mention spéciale SACD (Vincent Patar, Benjamin Renner, Stéphane Aubier)
Nommé pour le Prix Europa Cinema
Nommé pour le Prix Fipresci
NomNommé pour le Prix SACD
Nommé pour le Art Cinema Award
Nommé pour le Prix Illy
L'équipe des photographes, scénaristes, peintres et musiciens maîtrise le tempo des séquences, alterne les péripéties et les accalmies, mesure la subversion et l'émotion attendrie dans un rythme tantôt moderato cantabile, tantôt vertigineux. Positif
"Ernest et Célestine" vaut bien mieux que le coup d'oeil poli auquel sa joliesse enfantine semblait le destiner. C'est la réussite technique et artistique de l'entreprise qui saisit en premier lieu. Cahiers du Cinéma
Qu' "Ernest et Célestine" soit l'un des plus beaux films d'animation de ces dernières années, c'est trop peu dire. Disons plus simplement : c'est un film enchanteur. Le Monde
Les souriceaux en frissonnent de terreur, et nous d'impatience : la séquence d'ouverture d'"Ernest et Célestine" est magistrale. Libération
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