Nader et sa femme Simin sont devant le juge; ils entament une procédure de divorce. Simin veut partir à l’étranger pour offrir de meilleures perspectives d’avenir à leur fille Termeh mais Nader veut rester pour s’occuper de son père souffrant de la maladie d’Alzheimer. Nader accepte de divorcer mais il refuse de laisser partir sa fille qui reste donc avec lui. Mais n’ayant plus sa femme pour s’occuper de son père, Nader engage Razieh, une jeune femme très praticante dont le mari, instable psychologiquement, sort de prison…
2012
Oscars : Oscar du meilleur film étranger (Asghar Farhadi)
Oscar du meilleur scénario original
César : César du meilleur film étranger (Asghar Farhadi)
BAFTA : Meilleur film non anglophone
2011
Berlinale : Ours d'Argent du meilleur acteur (Shahab Hosseini, Peyman Moaadi)
Ours d'Argent de la meilleure actrice (Sareh Bayat, Leila Hatami, Sarina Farhadi)
Ours d'Or (Asghar Farhadi)
Nommé pour l'Ours d'Argent du meilleur acteur
Nommé pour l'Ours d'Argent du meilleur réalisateur
Nommé pour le Grand Prix du jury
Nommé pour l'Ours d'Argent de la meilleure contribution artistique
Nommé pour l'Ours d'Argent de la meilleure musique de film
Nommé pour le Prix Alfred-Bauer
Nommé pour l'Ours d'Argent - Meilleur scénario
La force du film est dans sa capacité à faire douter le spectateur, lui faire plusieurs fois changer de camp au fur et à mesure que se déroule l'intrigue. (...) Asghar Farhadi use des théâtres intimes pour distiller l'idée qu'en Iran le mensonge et la manipulation se pratiquent à tous les niveaux, que les comportements que l'on y impose méritent d'être débattus, contestés. Le Monde
Mais voilà un film, un film iranien qui nous parvient, ayant résisté à une interruption de son tournage, et il est magnifique. Marianne
Pas de pathos inutile, pas d'effet superflu, pas de procédé malin. Mais toujours, dans le contenu comme dans la mise en scène, ce qu'il faut de réalisme, de vigueur et de sentiment pour faire vivre un drame poignant de bout en bout. Ouest France
Un drame familial construit avec brio. (...) Deux faces de la société bloquée par ses tabous. L'Iran comme on ne le voit jamais. Télérama
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